PPDA a caché l'un de ses poèmes dans son recueuille de ses poèmes préférés: "Et puis voici les fleures"

Publié le par Miss d'Arvor

Dans son anthologie de la poésie, Et puis voici des fleurs… Patrick Poivre d'Arvor a glissé une pièce de sa composition. Le recueil des poèmes préférés de Patrick Poivre d'Arvor, Et puis voici des fleurs… (Le Cherche Midi), paru le mois dernier, s'est déjà vendu à plus de 16 000 exemplaires. Un chiffre exceptionnel pour ce genre littéraire. Sur les 150 textes choisis - tous les grands auteurs y figurent, y compris des contemporains -, on remarque la présence d'un certain Jean d'Arvor (1883-1927) dont PPDA nous présente deux poèmes (La Cathédrale endormie et La Cathédrale lunaire). Jean d'Arvor, dédicataire de l'anthologie, n'est autre que son grand-père maternel. Mais qui est cet Alexis d'Orgel, né en 1947 ? Renseignements pris, il s'agit d'un pseudonyme de PPDA, lui-même né en 1947 ! Ce poème s'intitule Sens interdit. L'un des vers dit : « Je quitterai la piste, je le ferai sans bruit. » Il l'avait écrit en 1962.

Publié dans Livres de PPDA

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